se mefient Alors la guerre ca m'etonne pas Une jolie petite fille qui marchait dans la rue Que je n'connaissais pas M'a fait prendre conscience en 2, 3
Beaucoup plus simple, que d'essayer de se noyer Au debut de la vie, aucun de nous ne sait, ou ne peut decider De vivre en autarcie, personne n'a choisi son statut d
les deserts Il faut que tu respires Et ca c'est rien de le dire Tu vas pas mourir de rire Et c'est pas rien de le dire D'ici quelques annees on aura
On ira au cinema, a la piscine Ou on ira se promener, je ne te quitterai pas. C'est etrange parfois, comme les choses peuvent changer, Il suffit d'un regard, d
C'est une chanson de rien du tout Qui vaut meme pas 3 francs 6 sous Meme pas la moitie d'un euro C'est vous dire si elle vaut le cout C'est une chanson
l'impression d'etre vivant ? Est-ce que les gens qui vivent tout nu Ont-ils un poil dans la main ? Je ne sais pas, je m'en fous On ferait mieux d'aller
vie, n'etait plus un cadeau Et que le Pere-Noel etait un vrai salaud Liberez les enfants, beauseigne Certains n'ont pas dix ans, beauseigne Qu'ils viennent d
a la tele Si un jour tu creve de froid Chez moi faudra pas venir sonner Et puis si un jour par malheur Les fachos prennent le pouvoir Dis toi bien qu'ca sera pas d
C'est une belle nuit pour faire la guerre Une belle nuit pour se disputer Une belle nuit comme toutes les autres d'ailleurs Certains dorment, d'autre
Au lever du decor, il y a des hommes qui attendent le soir Ils recherchent le nord, qu'ils ont perdu a force de boire Il y a des femmes qui se meurent
Un homme qui suivait les nuages, avec du bleu sur le visage Sa bouteille dans sa poche, les gens disaient "Ah que c'est moche !" N'avait pas choisi son
fait plus mal maintenant, mais j'y pense souvent On dit qu'les enfants sont mechants Moi j'dis qu'ils ont encore d'la marge Et surtout la chance d'avoir du temps D
Il faudrait que l'on soit Beaucoup plus forts que ca Afin que l'on souleve Les ongles et puis les doigts Il faudrait que l'on saigne Et que nos veines
Le petrole infestait la mer, Les vagues claquaient sur les rochers Les volets claquaient sur la pierre, Les robinets flic-floquaient. Tu disais quoi
Jacques tu es si drole que tu fais rire les enfants Ils te prennent tous pour un guignols, ils t'imitent le soir en mangeant Jacques tu es si grand que
Les gens raisonnables se levent toujours a l'heure Ils n'oublient jamais leur cartable, font bien gaffe de rien abimer Ils mettent toujours une ou deux
les autres femmes n'ont pas Ma grand-mere est une rose, d'un rose qui n'existe pas Du moins a ma connaissance, je ne vois pas, S'immiscer l'ombre d'une
On marchait vers avril et mars dispersait Les travers d'un hiver fragile, qu'on avait du mal a quitter Un type normal qui vivait seul, collectionnait