Ce soir Viens me voir viens boire viens t'asseoir Ce soir le veux-tu je te porterai aux nues Cette nuit Tant pis pour ces puritaines d'etoiles rousses
Pour modifier votre annonce d'accueil, tapez un Assurez-vous de ne rien oublier dans le train Vous avez selectionne Sans Plomb 98 Retournez ce dossier
(extrait de: JEANNE CHERHAL) Je suis ne j'etais marmot Deja au bord du berceau ca piaffait a tout-va Ce gosse ne ressemble a rien A personne d'entre
souriait a Jean-Louis Comme pour lui dire: A?reponds nous ouiA? Mais Jean-Louis restait interdit Le silence avait assombri L'humeur du papa de Jean-Louis
C'est typique c'est rural c'est cocasse c'est local c'est coquet c'est mignon c'est marrant les cochons c'est charmant c'est terroir c'est buffet c'est
T'es amoureuse de lui et lui de toi tu en es sure, trop de choses te le prouvent, et tu sens bien qu'il est mordu. Il telephone tout le temps, il adore
Faut le berceau brode Les sourires crispes Faut la vierge au-dessus De la nouvelle venue Faut surtout l'eau benite Pour asperger la p'tite Qui chiale
Douze fois par an regulierement elle se tord de douleur se mord les doigts dans son lit etouffant ses cris elle a mal Ce mal vif et lourd la tient nuit
J'aime bien ecouter aux portes Me cacher sous les lits Debrancher le telephone Et m'enfermer a clef Je sais tres bien faire la morte Dans mon bain sans
Roberto a 16 ans, il se la coule douce Une seche, une mousse, et le voila content Mais bien souvent sa mere, qui se tue au labeur Le sort de sa torpeur
Maman comment que ca se fait que la mer Elle est devenue toute noire, ouh lala Ma p'tite c'est parce qu'on l'a repeinte Pour feter la Noel Maman qui
Si je n'avais pas l'air si prude Si le savoir-vivre n'etait Chez moi une telle habitude Si je n'etais pas si secret Si avant de parler sept fois Ma langue
Tout s'annoncait si different Tout nous semblait un peu plus grand On aurait du se reveiller Sur le meme oreiller Sans jamais se lasser Mais quand vient
Tiens l'hiver qui surprend oh y a plus de saisons Sur de rien rien de sur meme le bleu du ciel Les petites filles ont froid leurs cheveux sont le miel
J'ai fait les bistros j'ai fait les bastringues Je t'ai cherche Dans les bouges et les rades Mais tu n'es nulle part Alors sur le dos je me mets tes fringues
Certaines nuits dans l'ombre Je me surprends parfois A vouloir toucher du doigt Une mort muette et sombre Ne t'inquiete de rien C'est humain humain humain
Quand j'aurais tout navigue, sur mon vaisseau fatigue, que j'aurai rompu le mat, sous le ciel trop bas, Plus rien ne me fera mal. Quand j'aurai couru
Dans le chaos de ses envolees lyriques L?homme boit et parle en meme temps Mais dans le feux des ses instincts exigeants Ses mains folatrent seules, nostalgiques