: D'avoir passe des nuits blanches a rever Ce que les contes de fees vous laissent imaginer D'avoir perdu son enfance dans la rue Des illusions decues
: Ma becane et mes tiags Et un vieux jean bien rape J'enfile un cuir J'ai pas l'air d'un minet Attention les grands-meres Va falloir vous garer J'me
: Au suivant au suivant Tout nu dans ma serviette qui me servait de pagne J'avais le rouge au front et le savon a la main Au suivant au suivant J'avais
: Reprise de Telephone Cache dans ton guichet contreplaque, agglomere, linoleum Bureau des P & t Toute la saint'journee J'ai a te parler J'veux un timbre
: De semaines inutiles en futiles dimanches De secondes immobiles aux aiguilles qui penchent J'oublierai ton nom De quatre nouveaux murs dans un autre
: Maniere de parler, facon de voir Angle de vue, futur esprit Tout se resume a un cris Devant le flagrant du delir La femme nue L'enfant qui pleure L
: Tourner le dos aux canyons arides Aux eoliennes qui tournent dans le vide S'il y a des mots qu'il faudrait que j'ecrase C'est sur les murs que seule
: T'es tout' nue Sous ton pull Y a la rue Qu'est maboul' Jolie mome T'as ton c?ur A ton cou Et l'bonheur Pas en d'ssous Jolie mome T'as l'rimmel Qui
: J'ai appris a vivre dans une prison en or Qui m'a fait oublier la lumiere du dehors Je suis tellement de gens a la fois Je peux meme te laisser le
: Je viens te rendre les cles De mes plus belles nuits Te rendre mon amour passe Ou depasse C'est ce qu'on en croit C'est ce qu'en disent Les gens presses
: Un beau jour, ou peut-etre une nuit, Pres d'un lac je m'etais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un
: venu d'une terre ou il fait toujours froid un avion se perd et d'un eclair foudroie une vie en plein vol sous le ciel qui flamboie... c'est la legende
: L'eau - c'est beau- c'est limpide Ca ramene a la vie L'eau - qui coule - en rivieres Ne connait pas le desert Et j'ignore comment l'eau choisit son
: La-bas Tout est neuf et tout est sauvage Libre continent sans grillage Ici, nos reves sont etroits C'est pour ca que j'irais la-bas La-bas Faut du
: Puisqu'un jour il faut partir S'en aller pour ne jamais revenir Je veux te dire Heureux de vivre Heureux de tout regarder Heureux d'entendre, heureux
: comment est ton amour comment est ta paix maintenant et toujours comment je saurais comment est ton ami comment est ta paix comment t'aimer aussi comment
: Big Mama, tu me mens C'est sur Je ne t'en veux pas vraiment c'est dur De faire passer le mal Quand on a pas la medecine Big Mama, tu me sers Toujours
: le vent ne change pas il vient comme un appel le signal et la voix qui chaque fois me reveille il me renvoie tout mes cris on n'a que ce qu'on reve