yeux du Dieu eternel Qui a mis dans mon etre ce desir charnel Pour m'empecher de regarder vers le Ciel Elle porte en elle le peche originel La desirer
en face du port il y avait les forts le bateau noir mouillait aux remparts et moi je ne pouvais qu'apercevoir que toutes les nuits j'en avais envie que
delivrance Mais je fuis et j'oublie... En ecoutant chanter de leurs songes On les entend, ils sont vivants Et ils trahissent tout ces mensonges Avec leurs desirs
Pere mere, je vais peut-etre mourir demain J'aurais aime accomplir vos reves, vos desirs Mais je suis atteint d'un froid assassin Je ne peux l'eloigner
argent Je ne suis qu'un numero que l'on oublie Seul face a l'emprise du mirroir Un inconnu me devisage Je n'ai que ce desir de croire Dans les bras d'
nations, the crescent moon shall shine How painful the task of the angel of night Fallen in love with the children of light All desires I've turned to
detourner mes yeux du Dieu eternelQui a mis dans mon etre ce desir charnelPour m'empecher de regarder vers le cielElle porte en elle le peche originelLa desirer
Des visages, des figures Devisagent, defigurent Des figurants a effacer des faces A, des faces B Appats feutres Attrait des formes Deforment, alterent
Aucun express ne m'emmenera Vers la felicite Aucun tacot n'y accostera Aucun Concorde n'aura ton envergure Aucun navire n'y va Sinon toi Aucun trolley
Je n'ai pas peur de la route Faudrait voir, faut qu'on y goute Des meandres au creux des reins Et tout ira bien la Le vent nous portera Ton message a
Je ne sais qu'une chose ; tu tiens Ma joie, ma peine, entre tes mains Tu es le souffle, le lien, Mon enfant roi, mon magicien Rien ne m'appartient Mais
Ca y est, le grand incendie Y'a l'feu partout, emergency Babylone, Paris s'ecroulent New-York City, Iroquois qui deboulent Mainteant... Allez London,
Des armes, des chouettes, des brillantes Des qu'il faut nettoyer souvent pour le plaisir Et qu'il faut carresser comme pour le plaisir L'autre, celui
La techno science sous un soleil radieux Nous permet l'invention de mondes merveilleux Cent mille raisons de tourner la page Quand je pense que Suzy est
Journee de la pleine lune Au sommet de la dune A caresser de loin ton chien T'oublies or not t'oublies Les ombres d'opalines au rendez-vous suivant,
La mer est immense Et glacee parfois Autant s'aligner Se souvenir de rien Autant planter l'aiguille Quand les bottes font du foin O luxuriance O Broadway
sirenes se taisent, les rapaces gueulent. Le rouge et le noir des tortures sont les fleurs du mal. Je repete : le rouge et le noir des tortures sont
Ernestine j'en ai connu des comme toi un peu plus fines un peu moins sures de leur loi Un de plus C'est dans les us Du pays des sortileges Parfum de