Les servantes et les ivrognes, Les soulards a rouge trogne Et les notaires a chapeau... Un jour je changerai de chemin, Dans les projos du petit matin, Je partirai a
le monde, Qui n'en finit pas de tourner. De marches funebres et de tombeaux en tombes, On oubliera l'humanite. Mozart se leve, me crie : « Par Jupiter ! Y a
conquetes, Leurs peripeties de braguette, Dans des gros rir' a la buvette, Les z'hommes, Ils se racontent leur gueguerre, Leurs nostalgies de militaires, Une lalarme a
'ai tant a rattraper, j'ai tant Manque de tendresse et de femmes, Tant pris de bleus, de coups a l'ame, Qu'a quarante et quelques annees, J'ai comme
temps d'etre enfin animal? Je ne veux pas vieillir, je ne veux pas mourir, je n'veux pas Je veux des barricades qui servent a quelque chose, Que
moi donc la difference... Je t'aime, mon amour, mon petit, Je t'aime, mon amour, mon amie... Entre l'amour et l'amitie, La pudeur a forge sa chaine A
, Donne donc a l'ancetre Une ultime caresse... Fais un'e pipe a Pepe, avant qu'il ne la casse, Un'e p'tit'e langue a Meme avant qu'elle ne trepasse Et
sa quequette. La quequette a Tarzan, jour et nuit, j'en revais Lorsque je contemplais tristement ma virgule, La quequette a Tarzan, ah oui! je la greffais Sans vergogne a
a des bonnes dames paroissiennes Qui prennent plaisir a accabler De pauv'res peripateticiennes Entre deux grains de chapelet. A ces fanatiques de Jesus, A