Вершы: Lucienne Boyer. Gigolette.
Lorsque la nuit s'epanouit
Mysterieusement comme une fleur funebre
Le dernier bruit s'evanouit
Et la ville s'endort dans le xx des levres
Il c'est alors que dans l'ombre qui les protege
Et tout xxxxxx parlant tout bas
L'attache xxxxx sous le ciel lourd de neige
Cachant au ras des murs leur etrange manege
Et le beau gars serrant dans ses bras
Sa gigolette, sa gigolette
Lui sourit et tendre lui dit :
Ma gigolette, ma gigolette
J'te f'rai jamais gagner l'gros lot
Mais quand fortune tape au rideau
Les rupins coquins s'amenaient toujours
Ca c'est la vraie amour
Sur le boulevard, il se fait tard
Et le bourgeois craintif se rend vers sa demeure
Un jeune fetard, au teint blafard
S'avance en frissonnant sous la bise qui pleure
Et c'est alors que dans l'ombre qui le protege
Et tout xxxxxxx on n'entend pas
Brusquement la xxxxx se jette sur le gibier pris au piege
Un cri d'angoisse, un rale et du sang sur la terre
Et le beau gars serrant dans ses bras
Sa gigolette, sa gigolette
Lui sourit et tendre lui dit :
Ma gigolette, ma gigolette
Je viens de decrocher le gros lot
Mais ta vraie fortune c'est Julot
Les rupins peuvent bien s'amener toujours
Rien ne vaut la vraie amour
Mysterieusement comme une fleur funebre
Le dernier bruit s'evanouit
Et la ville s'endort dans le xx des levres
Il c'est alors que dans l'ombre qui les protege
Et tout xxxxxx parlant tout bas
L'attache xxxxx sous le ciel lourd de neige
Cachant au ras des murs leur etrange manege
Et le beau gars serrant dans ses bras
Sa gigolette, sa gigolette
Lui sourit et tendre lui dit :
Ma gigolette, ma gigolette
J'te f'rai jamais gagner l'gros lot
Mais quand fortune tape au rideau
Les rupins coquins s'amenaient toujours
Ca c'est la vraie amour
Sur le boulevard, il se fait tard
Et le bourgeois craintif se rend vers sa demeure
Un jeune fetard, au teint blafard
S'avance en frissonnant sous la bise qui pleure
Et c'est alors que dans l'ombre qui le protege
Et tout xxxxxxx on n'entend pas
Brusquement la xxxxx se jette sur le gibier pris au piege
Un cri d'angoisse, un rale et du sang sur la terre
Et le beau gars serrant dans ses bras
Sa gigolette, sa gigolette
Lui sourit et tendre lui dit :
Ma gigolette, ma gigolette
Je viens de decrocher le gros lot
Mais ta vraie fortune c'est Julot
Les rupins peuvent bien s'amener toujours
Rien ne vaut la vraie amour
Lucienne Boyer